Au sein d’une grande société, les responsables marketing élaborent des stratégies. La stratégie d’acquisition digitale en fait partie. De quoi s’agit-il exactement ? Dans les quelques lignes suivantes, on vous présente tout ce qu’il y a à savoir sur la stratégie d’acquisition digitale, avec ses avantages et son fonctionnement. C’est quoi une stratégie d’acquisition digitale ? Pour mieux comprendre ce que c’est une stratégie d’acquisition digitale, il faut commencer par définir le sujet. Il s’agit d’une campagne qui a pour objectif l’acquisition de nouveaux clients. C’est une démarche pour développer le portefeuille client d’une entreprise. Dans ce type de stratégie, il y a plusieurs leviers mis à la disposition des entreprises. On parle ici de l’ensemble des actions marketing et commerciales. Ces leviers servent pour identifier les cibles, les atteindre et les transformer en clients. Par exemple, le référencement naturel ou le SEO est la technique permettant d’optimiser un site web pour gagner en visibilité sur les moteurs de recherche. Le référencement payant ou SEA est une technique similaire, mais avec un positionnement sur un mot-clé précis. Les responsables marketing misent également sur le content marketing. Cette pratique consiste à créer une relation entre le prospect et l’entreprise à travers un contenu de qualité. Le display est une technique de publicité digitale qui permet de mettre des annonces publicitaires sur des sites web avec la même thématique que la vôtre. Quels sont les avantages d’une stratégie d’acquisition digitale ? Nombreux sont les avantages dont vous pourrez bénéficier en mettant en place une stratégie d’acquisition au sein de votre société. Cette stratégie permet de fidéliser les anciens clients et de trouver des nouveaux clients. Cela est possible parce que la société sera en interaction directe avec les prospects et les clients. Ces derniers vont définir leurs besoins précis. Mettre en place une stratégie d’acquisition digitale permet également d’améliorer la performance de l’entreprise. Les clients vont donner leurs avis sur l’offre que vous proposez. Les informations obtenues serviront pour le bon fonctionnement de l’entreprise. La stratégie permet aussi de créer une relation durable et de qualité avec les clients. Grâce à cette technique, la société va trouver des moyens pour satisfaire continuellement ses clients. Par ailleurs, cette stratégie permet de faire des économies considérables. Elle est disponible 7j sur 7 et 24h sur 24. Elle va non seulement rapporter des clients, mais aussi de la visibilité et de la réputation sur le marché. Comment fonctionne une stratégie d’acquisition digitale ? Le fonctionnement de la stratégie d’acquisition ne peut commencer que lorsque la société a défini ses besoins dans le domaine. Il est également question à trouver la stratégie qui répond aux besoins de la société. Vous allez mettre en place chaque levier de l’acquisition client choisi. Des suivis seront effectués tout au long de la campagne. Ainsi, vous allez vérifier les faiblesses et les atouts de cette stratégie. Vous pourrez y apporter des améliorations pour garantir la bonne marche de la stratégie d’acquisition digitale.

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L’équipement a vu défiler 257 000 voyageurs l’an dernier, presque trois fois moins qu’en 2019. Air France devrait toutefois redémarrer ses liaisons estivales dès la fin du mois de mai. A Dinard en revanche, la fin des vols commerciaux a été confirmée par l’exploitant, suite au désengagement de Ryanair. L’aéroport de Saint-Jacques de la Lande entrevoit-il le bout du tunnel ? Après une année noire, le trafic devrait augmenter dans les prochains mois, sous réserve que la situation épidémique soit contrôlée en France comme à l’étranger. Un bon signe pour les touristes : La compagnie nationale Air France a annoncé une reprise de ses vols estivaux à destination de Marseille et Nice, et vers la Corse (avec les dessertes des aéroports d’Ajaccio, Bastia, Calvi et Figari). A quoi s’ajoutent les lignes régulières vers la capitale (Roissy Charles-de-Gaulle pour les transits) et deux des plus grandes métropoles françaises, Lyon et Toulouse. Rynair se retire de Dinard Les opérateurs low cost, tels Easyjet ou Volotea espèrent également un rebond de l’activité à partir de l’été sur leurs vols intérieurs et européens (Genève en Suisse pour le britannique Easyjet). Air Arabia annonce également la réactivation de sa liaison Rennes-Casablanca « dès que la situation sanitaire le permettra et les restrictions levées ». Ces remises en service, qui restent conditionnées au feu vert des autorités, entrouvrent la perspective, sinon d’un retour à la normale, du moins de jours meilleurs pour l’équipement breton : l’an dernier, son trafic de passagers avait plongé de 70% à seulement 257 000 passagers, contre 850 000 en 2019, indique un rapport annuel de l’exploitant, le groupe Vinci Airports, présent au capital de la Société d’exploitation des aéroports de Rennes et de Dinard (SEARD) aux côtés de la chambre de commerce et d’industrie. A Dinard en revanche, la crise a aggravé les difficultés de l’aéroport (nord du départent d’Ille-et-Vilaine), plombé par un déficit annuel compris entre 800 000 et 900 000 euros : le 9 avril dernier, la direction de la SEARD a confirmé la fin des vols commerciaux après le retrait annoncé de l’irlandais Ryanair, le seul à assurer ce service. Cette décision va entraîner la fermeture de l’aérogare et les licenciements de 18 salariés. « La plateforme continuera à accueillir les vols industriels de la Sabena Technics, vols privés et d’affaires grâce à une nouvelle organisation » a indiqué Nathalie Ricard, directrice de la Société d’exploitation des aéroports de Rennes et de Dinard

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L’Etat souhaite supprimer les vols courts sur le territoire national afin de privilégier le train. Une mesure motivée par des considération environnementales mais aussi économiques qui, à trois jours du second tour des municipales, rejoint les propositions de la candidate sortante, Nathalie Appéré, alliée des écologistes. C’est l’un des effets collatéraux de la crise sanitaire qui a frappé la France au cours de ces derniers mois : le gouvernement souhaite réduire la circulation aérienne qui maille l’ensemble du territoire nationale à partir des aéroports régionaux. Ce projet, conditionné au plan de sauvetage de la compagne Air France (7 milliards d’euros), vise à limiter, voir supprimer, les lignes courtes également couvertes par le TGV en moins de 2h30. Sur ces trajets, le train « décarboné » se substituerait donc à l’avion, plus polluant. A Rennes, les vols à destination de Roissy-Charles de Gaulle sont directement visés par cette réorganisation. Ils pourraient même être rayés de la carte d’ici la fin de l’année : Le secrétaire d’Etat en charge du Transport Jean-Baptiste Djebbari n’a pas fixé de calendrier. Tut juste a-t-il annoncé, sur RTL, le coup d’envoi de discussion « au retour de l’été », assurant par ailleurs que « la suppression des lignes se ferait en concertation avec les Régions ». Le « Rennes-Lyon » sauvé ? La décision fait tousser l’association Des Ailes pour l’Ouest, qui milite de longue date pour un renforcement des structures et de la densité aériennes en bretagne et Pays de la Loire. Pour son président Guillaume Dalmard, ces deux territoires excentrés – et leurs habitants – sont sacrifiés par le gouvernement, au nom « d’un coup politique ». Le projet de suppression de lignes intérieures met, selon lui, en péril l’avenir « des aéroports de Brest et Rennes qui réalisent une partie importante de leurs activités respectives sur ces courts-courriers, et pénaliserait un grand nombre d’entreprises locales déjà affaiblies par la crise sanitaire ». A trois jours du second tour des municipales à Rennes, le sujet fait parler : Dans la droite ligne de sa stratégie verte, nouée avec ses partenaires écologiques, la maire sortante Nathalie Appéré a rappelé qu’elle ne souhaitait pas maintenir d’offre aérienne « sur des destinations couvertes par le TGV en moins de quatre heures ». Dans cette perspective, les rotations vers Roissy-Charles de Gaulle (un hub international) seraient condamnés. Mais pas forcément la ligne vers Lyon qui nécessite 5 heures de voyage en train. La candidate socialiste a toutefois réitéré que « la fermeture de l’aéroport » n’est pas dans ses intentions.

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Ce terme suédois désigne la honte ressentie par les voyageurs qui prennent l’avion en dépit de l’impact environnemental généré par ce mode de déplacement : si ce contexte général a pu jouer, la baisse de fréquentation enregistrée par l’aéroport rennais s’explique plus rationnellement. 852 000 passagers ont décollé l’an dernier de l’aéroport Rennes-Bretagne : ce chiffre traduit un recul de -0,6% par rapport à 2018, un résultat qui marque un gros coup d’arrêt pour l’équipement géré par la Chambre de commerce et d’industrie d’Ille-et-Vilaine et Vinci Airports, un concessionnaire français également présent à Nantes et Lyon. Comment analyser cette baisse de trafic alors que la croissance du site semblait devoir s’inscrire dans la durée grâce au boom du marché low cost ? Pour le directeur de l’aéroport Gilles Tellier, le ralentissement observé en 2019 résulte de logiques de marché aisément mesurables, auxquels s’est ajouté, de manière beaucoup plus insidieuse, un contexte global de défiance à l’égard de ce mode de transport, pointé pour son lourd impact sur l’environnement. Un phénomène qu’il est, de fait, difficile de quantifier. Beaucoup plus lisibles et analysables sont les conséquences des difficultés économiques et sociales rencontrées par la compagnie Air France et sa filiale Hop ! Ces turbulences nationales ont eu des répercussions à Rennes où des lignes directes vers Bruxelles (Belgique) et Strasbourg ont été supprimées. Autre conséquence : la réduction du nombre de départs vers Marseille qui prend sa part dans la baisse des réservations au départ de l’aéroport breton. Francfort bientôt connecté à Rennes En réponse à ceux qui critiquent la frilosité des actionnaires et l’absence d’une véritable politique de développement, Gilles Tellier soutient que l’aéroport présente une offre importante, portée par une douzaine de compagnies, dont les espagnoles Vueling et Volotea et la britannique ’EasyJet, toutes positionnées sur le marché du voyage à bas coût. L’opérateur londonien, qui dessert déjà Lyon et Nice depuis l’Ille et Vilaine, ainsi que Genève, via sa filiale suisse, s’apprête à lancer (au 31 mars 2020) des liaisons vers Toulouse. A la même date, l’allemand Lufthansa viendra étoffer l’offre de l’aéroport rennais d’où il assura trois vols hebdomadaires vers l’un des plus grands hubs européens, à Francfort (70,5 millions de passagers). Cettz année, les trajets vers l’Angleterre (Southampton et Londres Southend) seront maintenus avec Flybe. Madrid reste également au programme par l’intermédiaire d’Iberia Express. Le site breton propose est connecté sur plusieurs circuits saisonniers : Cork et Dublin en Irlande (Stobart Air), Ajaccio, Bastia, Calvi et Figari en Corse (Air France et Hop !). Des vols vers la Grèce: ( Corfou-I. Kapodístrias) , la Sicile (Palerme Falcone-Borsellino) et les Baléares (Palma de Majorque) sont oprérés par TUI fly Belgium.

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