Un premier « Before work » rythmé à Rennes

Jeudi matin, le premier Good Morning Rennes a rassemblé 300 personnes à la Cité. Tous étaient venus faire la fête avant de reprendre le turbin.

Enseignants, employés, étudiants… se sont levés du bon pied ce matin pour se rendre au premier Good Morning Rennes, un « Before Work » du genre secouant organisé à la Cité. Le concept a été importé de Londres par une jeune rennaise Anne Claire Loaëc, convaincue des bienfaits qu’un tel rassemblement peut procurer aux esprits chagrins et râleurs qui, dès l’aurore, se cherchent un but existentiel avant d’aller pointer au bureau ou à l’amphi.

Sport et danses et croissants chauds

Les organisateurs du festival Maintenant ont accepté d’inscrire cet évènement branché à leur programme. Novateur en France, et plus encore à Rennes où c’était la première édition, ce type de rassemblement matinal l’est beaucoup moins dans les grandes capitales européennes (Londres surtout), mais aussi à New York (Etats-Unis) et Tokyo (Japon) où les jeunes actifs ont pris goût à ces matinées dansantes propres à dégourdir l’esprit et les muscles au sortir de la couette.

Sur place, dès 7 heures, tout était prévu pour garantir une décrispation collective, à part l’alcool volontairement banni de la Cité, mais des platines caressées par le DJ Mac l’Arnaque qui proposait aux adeptes du dancefloor une programmation groove et funky pour réveiller les corps. Un Gueulomaton était ouvert aux hystériques du cri dynamique, et un atelier sportif permettait de réaliser des sprints sur des vélos d’appartement. De la sueur donc, quelques déguisements fantasques aussi (en vertu d’une règle instaurée par les organisateurs), un peu de délire, et , en complément (alimentaire), un petit-déjeuner avec croissants.
Rappelons que l’entrée n’était pas gratuite (5 euros).

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