Taxe d’habitation : Rennes parmi les villes les plus chères

La taxe d’habitation, payable en novembre, va encore progresser cette année mais à un rythme à peine supérieur à celui de l’inflation, soit +1% en moyenne. La hausse sera modérée à Rennes mais le taux d’imposition y est aussi un des plus forts en France.

Après le dernier tiers de l’impôt sur le revenu réglé en septembre, les impôts locaux se profilent à l’horizon. Dans cette liasse de contributions, il y a la taxe foncière des propriétaires, la taxe d’habitation et la redevance audiovisuelle.

Selon Boursorama, la taxe d’habitation, dont s’acquittent propriétaires et locataires, progressera cette année, de l’ordre de +1%. C’est, globalement, le taux qui sera appliqué dans les grandes villes, tels  Paris, Lyon, Bordeaux, Strasbourg et Toulouse où la hausse sera même inférieure à 0,9%. A Marseille, la taxe augmentera  au même rythme que l’inflation, c’est-à-dire très faiblement (+0,6%).

Plus de 1 000 euros en Bretagne et Paca

Derrrière cette uniformité, se cachent des valeurs disparates en fonction des villes. Si Argenteuil (Val d’Oise) apparaît comme la ville la plus taxée de France (1 441 euros), sa grande voisine parisienne offre les taux d’imposition les plus abordables (464€ en moyenne cette année).
Entre les deux, on trouve des grandes métropoles, comme Toulouse, Lyon, Lille, Strasbourg ou Tours où la taxe d’habitation devrait dépasser les 900 €. A Marseille, où la hausse est, on l’a vu, la plus faible de France cette année, la note reste élevée (entre 1 100 et  1250 euros), comme à Montpellier, Perpignan, Brest ou Rennes).

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Journaliste de formation, j'occupe actuellement la fonction de rédacteur au sein du réseau des sites Internet de services aux entreprises du groupe Libbre. Je peux justifier d'une expérience de six ans dans la presse quotidienne angevine au sein de trois quotidiens : la Nouvelle République, Ouest-France puis le journal majoritaire en Maine-et-Loire : le Courrier de l'Ouest (2007-2009).

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