Tout comme une bouteille de vin bien vieillie, la scène de la restauration à Rennes s’est bonifiée avec le temps. Elle s’est transformée en une véritable mosaïque de restaurants, de bistrots et de brasseries qui rivalisent d’innovation et de savoir-faire pour ravir les papilles des gourmets. Que vous soyez un professionnel en quête d’un diner d’affaires ou simplement un épicurien à la recherche de nouvelles expériences, découvrez ici une sélection des meilleures brasseries de Rennes. Une cuisine française authentique Rennes, capitale de la Bretagne, offre une cuisine française authentique et variée, enrichie de produits locaux de qualité. La gastronomie de la région se retrouve dans la majorité de ses brasseries, où des recettes traditionnelles sont revisitées avec audace et créativité. Des brasseries comme "Le Bistrot de la Galette" ou "Le Café du Port" sont réputées pour leur ambiance chaleureuse et leur menu raffiné, où des plats tels que le pot-au-feu breton ou la cotriade de poissons font la part belle aux saveurs du terroir. Une touche européenne Non contente de ses racines bretonnes, la gastronomie rennaise s’est aussi enrichie d’influences d’ailleurs. Plusieurs brasseries à Rennes ont ainsi adopté une cuisine européenne, proposant des plats italiens, espagnols ou encore anglais. Parmi eux, "La Taverne du Valais" est appréciée pour ses spécialités suisses, tandis que "Le Bar à Mines" se distingue par ses plats inspirés de la cuisine du nord de l’Europe. Ces brasseries offrent un voyage culinaire qui dépasse les frontières, sans jamais quitter Rennes. Des terrasses pour profiter de l’ambiance rennaise Rennes est une ville dynamique et vivante, avec ses rues animées et ses places pittoresques. Plusieurs brasseries offrent la possibilité de profiter de cette ambiance unique en proposant des terrasses où déguster un bon repas ou simplement prendre un café. "La Terrasse", située sur la Place de la Mairie, est une des plus réputées. Son emplacement privilégié et son service de qualité en font une adresse prisée des Rennais et des visiteurs. "Le Café des Jacobins", avec sa terrasse ombragée, est également un lieu de choix pour une pause gourmande en plein cœur de la ville. Un service de qualité Le service est un critère essentiel dans le choix d’une brasserie. Les meilleures adresses à Rennes se distinguent par un accueil chaleureux, un personnel attentif et compétent, et une volonté de satisfaire chaque client. "Le Café Noir", par exemple, est réputé pour son équipe sympathique et professionnelle, qui sait mettre à l’aise et conseiller les clients. "Le Bistrot de la Place" est également apprécié pour son service impeccable, qui contribue à l’atmosphère conviviale du lieu. Un vaste choix de plats et de boissons Le choix de plats et de boissons est un autre élément clé d’une bonne brasserie. Les meilleures brasseries à Rennes proposent une carte variée, avec des options pour tous les goûts et tous les régimes alimentaires. "Le Bistrot à Tartines", par exemple, offre une variété de tartines gourmandes, de salades composées et de desserts maison. "La Brasserie de la Paix", pour sa part, se distingue par

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La Route du Rhum est une course épique pour les skippers. Tous les ans, cette compétition s’associe à de nombreux partenaires et l’édition de la Route du Rhum 2023 ne fera pas exception en s’alliant avec de nombreuses entreprises locales. La 12ème édition de la Route du Rhum, la poursuite d’une course historique La Route du Rhum est une compétition qui a lieu tous les 4 ans depuis 1976. D’une distance de 5 600 kilomètres, cette course a pour objectif d’effectuer un aller Saint-Malo – Guadeloupe le plus rapidement possible. Le record à battre est détenu par Charles Caudrelier, il a effectué le parcours en seulement 6 jours, 19 heures, 47 minutes et 25 secondes durant l’édition 2022. La 12ème édition de la Route du Rhum a donc été lancée le jeudi 10 novembre 2022 et se termine le dimanche 4 décembre 2022. Au programme, de nombreuses animations et concerts mais également des villages spéciaux dédiés au monde nautique notamment sont prévus pour divertir les badauds et les spectateurs étant venus spécialement pour l’occasion. Bien sûr, en parallèle, une cérémonie de remise de trophées est attendue pour l’arrivée des skippers. Alcor Équipements, partenaire de l’édition 2023 L’entreprise Alcor Équipements, située près d’Angers, est encore une fois l’un des partenaires privilégiés pour un événement sportif majeur. En effet, en plus d’installer des tribunes modulaires pour l’événement de la Route du Rhum, Alcor Equipements est déjà prévu pour équiper les Championnats du Monde de ski alpin à Courchevel en février 2023. Pour la Route du Rhum 2022, Alcor a d’ores et déjà installé une tribune nord d’une capacité de 738 places assises avec une plateforme spéciale permettant l’accueil des PMR ainsi que leurs accompagnants, une tribune sud de 500 places dont une partie avec des places debout et une autre avec des sièges coques. Enfin, pour favoriser la visibilité, Alcor a rehaussé ses tribunes et installé des garde-corps vitrés. À la mer comme à la montagne, les tribunes modulaires peuvent être utilisées lors d’événements sportifs. Éric Leport, directeur d’Alcor Équipements, le leader français de la tribune de stade modulaire, revient sur ses chantiers sportifs menés récemment par ses équipes : « Que ce soit sur l’évènement de la Route du Rhum 2022 ou d’autres compétitions sportives (football, rugby, BMX, etc.), Alcor Équipements est très engagée dans le respect de ses obligations de sécurité. En tant que fabricant de tribune de stade, modulaire et mobile, Alcor s’assure que toutes les pièces constitutives et les configurations de montage et démontage soient normées. Il faut assurer un très haut niveau de sécurité, de solidité et de stabilité aux implantations ». La sécurité, le point d’orgue des tribunes modulaires aujourd’hui Après plusieurs accidents, la sécurité apparaît aujourd’hui comme l’un des principaux éléments à considérer lors de l’installation de tribunes modulaires. Récemment, un nouvel arrêté a fait son apparition afin de mettre en place des mesures spécifiques à chaque partie prenante (fabricant, installateur, organisateur et propriétaire). Des mesures comme l’obligation de fournir une notice technique rédigée en français et permettant

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Dans la capitale bretonne, comme partout en France, les bars et les restaurants vont pouvoir rouvrir leurs établissements au public le 19 mai : seulement en extérieur. La Municipalité leur a réservé un dispositif spécial. Après plus de six mois de fermeture, la reprise des affaires se profile pour l’ensemble du secteur HCR (Hôtel-Café-restaurants), très impacté par les restrictions sanitaires mises en place depuis mars 2020 à cause de l’épidémie de la Covid. Conformément au plan de déconfinement dévoilé il y a une semaine par l’Elysée, les terrasses de ces commerçants pourront rouvrir à partir du mercredi 19 mai 2021, avant la mise en place d’une jauge (tables de six personnes maximum) pour l’accueil du du public en intérieur cette fois, dès le 9 juin. Pour accompagner ces redémarrages, qui s’annoncent peu lucratifs au cours des prochains mois, la Ville de Rennes a mis en place un dispositif spécial : chaque bar et restaurant aura la possibilité d’étendre sa surface extérieure afin de recevoir davantage de clients, sans déroger aux règles de distanciation physique prévues par les protocoles. Les établissements qui n’en disposent pas e temps ordinaire pourront en créer une sur la voie public (sous réserve de possibilités compte tenu de la configuration des lieux). Dans les deux cas –extension ou création – aucune taxe ne sera appliquée. Ces mesures entreront en vigueur dès le 19 mai, et seront maintenues bien au-delà du 9 juin : la Ville annonce déjà une prolongation jusqu’au 31 octobre. Une charte négociée entre les et l’Union des métiers et des industries de l’hôtellerie (Umih) va être définie en ce sens Le dispositif ne sera pas automatique : les gérants des bars et restaurants éligibles devront en référer à l’administration municipale et s’engager à respecter les normes établies par la charte. Certaines voies pourraient être temporairement piétonnisées pour faciliter l’extension ou la création de terrasse. Pour rappel, sept rues avaient été fermées aux voitures en 2020 chaque vendredi et samedi soir de 19h à 0h30. Le 19 mai prochain, le calendrier de déconfinement prévoit également la réouverture des lieux culturels (musées, monuments, cinémas, théâtres, salles de spectacles dotées de places assises).A cette date, les activités sportives de plein air pourront rependre et le couvre-feu sera décalé à 21 heures. Toutes les enseignes dites « non essentielles » fermées en avril – en plus des bars et restaurants – auront également la possibilité de rouvrir.

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C’est une des conséquences du confinement adapté en vigueur depuis ce mardi à Rennes pour ralentir la propagation de la Covid-19. C’est le seul effet positif des restrictions sanitaires appliquées dans leur plénitude à partir de cette semaine, et jusqu’à la fin du mois d’avril, à Rennes : comme lors du premier confinement – celui du printemps dernier – la Ville a décidé de rendre le stationnement gratuit sur l’ensemble du territoire municipal pour une durée de quatre semaines. Loin d’être un cadeau, alors que de nombreux commerces doivent fermer leurs portes au public, cette mesure répond avant tout aux besoins des habitants rennais, « assignés » à domicile en mode télétravail ou placés en chômage partiel, et donc contraints de rester chez eux. L’idée est de leur permettre de garer leur(s) véhicule(s) à proximité de leur logement, sans avoir à payer. Mais rien n’empêche tous les autres d’en profiter et de se rendre dans l’hyper-centre en y stationnant gratis sur la voierie en respectant les marquages au sol habituels, à condition bien sûr que ce déplacement se limite aux 10 kilomètres de trajet autorisés entre leur adresse personnelle et leur destination. Les crèches fermées jusqu’au 23 avril Pour rappel, depuis samedi dernier, seules les enseignes qui distribuent des produits dits de « première nécessité » sont ouvertes (dont les pharmacies et les buralistes. Parmi elles, certains secteurs bénéficient de dérogations comme libraires, les disquaires et autres vendeurs de matériels informatiques. Une tolérance est également accordée aux chocolatiers, aux agences immobilières (les visites de biens sont encore possibles en dehors du couvre-feu) et aux garagistes. Tous les autres -et ils sont très nombreux – ont dû baisser le rideau, à l’image des commerces de l’habillement et des magasins de chaussures qui vont bénéficier d’aides spécifiques destinées à prendre en charge le coût de leurs stocks soumis à la saisonnalité. Par ailleurs, la Mairie, a annoncé que « les services municipaux continueront, dans l’ensemble, d’être assurés normalement », à quelques aménagements près. Un, de taille, concerne les écoles, fermées jusqu’au vacances d’avril. Les crèches sont closes jusqu’au vendredi 23 avril inclus, sauf si la demande provient de parents qui exercent dans le secteur de la santé, assurent une mission essentielle de service public, ou ont à leur charge un enfant en situation de handicap. Le Centre communal d’action sociale (CCAS) reste accessible au public, mais modifie ses horaires, avec des ouvertures en matinée du lundi au vendredi de 9 h à 12 h 30. Les services sont joignables par téléphone, de 9 h à 12 h 30 et de 13 h 30 à 17 h. Les piscines municipales, dont celle de Bréquigny, sont fermées depuis lundi, « dans l’attente des précisions gouvernementales sur les conditions de fonctionnement des établissements aquatiques ».

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Cinq hommes, dont un habitant d’Ille-et-Vilaine, retransmettaient sur une plateforme en accès libre des matchs réservés à des chaines payantes. La note qu’il leur faudra rembourser aux diffuseurs officiels est salée. Du foot, du basket, du rugby…le programme était alléchant. Et surtout gratuit. Donc illégal. Car les droits de retransmission de l’immense majorité des événements sportifs professionnels sont aujourd’hui détenus par des chaines de TV à péage qui ne rentabilisent plus leur investissement à travers les seules ressources publicitaires. Sur internet, la pratique qui consiste à détourner ces images sur des plateformes en accès libre s’appelle le streaming. Entre 2014 et 2018, cinq « pirates » français s’y sont adonnés : l’un d’eux, 47 ans, est originaire d’Ille-et-Vilaine et habite près de Fougères. Ancien vendeur de photocopieuses, il s’était lancé en 2011 dans ce business qui lui aurait rapporté 230 000 euros, une somme tirée de la publicité en ligne. 9 des 30 sites qu’il gérait avec ses quatre associés jouissaient, en effet d’une forte audience dont les moteurs de recherche ont aussi fait leurs choux gras, soit 7,5 millions de visiteurs uniques sur une période de trois à quatre ans. Quelles pertes pour les diffuseurs ? Epinglés par la justice, et placés dans la collimateur des grands diffuseurs TV (dont Canal +, Bein Sport et RMC qui concentrent à eux seuls plus d’un milliard d’euros de droits relatifs à des évènements sportifs,), ces cinq acteurs du web avait comparu devant la Juridiction interrégionale spécialisée de Rennes (Jirs) il y a un an. Le breton, reconnu coupable de contrefaçon et de blanchiment aggravé, avait alors été condamné par les magistrats à un an de prison, dont six mois avec sursis. Des peines d’amende avaient également été prononcés à l’encontre des protagonistes, jusqu’à 20 000 euros (dont une partie, là aussi, avec sursis). Après ce volet pénal, assez sévère, est venu le temps des audiences civiles, encore plus spectaculaire puisqu’il s’agissait d’évaluer les pertes subies par les chaines de télévision : les trois médias réunis réclamaient la bagatelle de 91 millions d’euros de dommages et intérêts (plus un million d’euros au titre de leur préjudice moral). Ces montants ont été revus largement à la baisse par les juges : 6 980 000 € pour le préjudice matériel et 351 000 € pour le préjudice moral. Des sommes « punitives » que les prévenus n’ont « pas les moyens de rembourser » a déclaré leur avocate.

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Ce site, qui offre 250 places de stationnement, va être converti en espace vert. Avec ou sans la dalle ? Le long des quais Drouin et Lamennais, bordés par ce parking de 252 places, les avis divergent. Les commerçants du quartier opteraient davantage pour son maintien, même partiel, afin de sauvegarder ce point d’ancrage utilisé par les automobilistes pour accéder au centre-ville. Et puis il y a les autres, particuliers, habitants riverains ou non qui rejoignent, peu ou prou, avec parfois quelques nuances, la position municipale et voient dans cette dalle de béton bondée de voitures un facteur défigurant du paysage urbain incompatible, de surcroît, avec les nouvelles logiques de mobilités destinées à réduire le trafic automobile au coeur de Rennes. La maire Nathalie Appéré a tranché : la disparition du parking figurait dans son dernier programme électoral. Cette promesse sera donc tenue. Reste à connaître la tournure que prendra le projet : on sait que le site est destiné à se muer en espace vert. Mais la dalle, qui recouvre le lit de la Vilaine, est-elle vouée à disparaître, totalement ou en partie ? Auquel cas le fleuve reprendrait son cours tranquille dans ce quartier et deviendrait l’artère d’une promenade champêtre plantée d’arbres et de gazon… Concertation en deux phases Pour ouvrir des perspectives sans heurter, la Ville va organiser une concertation, comparable dans ses modalités, à celle qui prélude à l’installation de la 5G. Cette discussion va se dérouler en deux étapes. La première prendra la forme d’une grande plateforme d’échange déclinée en ateliers, sondages, réunions publiques dans lesquelles tout à chacun – habitants, commerçants, les clients des enseignes, salariés…- pourront donner leur avis. La seconde donnera lieu à la constitution d’un jury citoyen d’une trentaine de personnes chargé de travailler sur les idées et les avis formulés en amont par l’ensemble des rennais. Cette instance sera composée d’un échantillon représentatif de la population locale, panel qui sera défini par un institut de sondage certifié (le coût de l’opération est estimé à environ 200 000 €). Ces professionnels de l’analyse d’opinion devront « accompagner la concertation sur la couverture Vilaine et centre-ville Nord en vue du réaménagement des espaces publics ». Pour décider en toute connaissance de cause, les membres du jury auront accès à tous les document et données techniques sur la dalle et études de faisabilité ». Les débats devront évidemment prendre en compte les impératifs budgétaires du commanditaire (en l’occurrence la Municipalité). La fin de cette grande concertation est prévue pour novembre 2021.

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Cet excellent résultat a été obtenu à partir des avis émis par…les rennais eux-mêmes. Transport, propreté, logement, sécurité, emploi….Les principaux critères qui définissent, aux yeux des décideurs, la notion de « bien-être » en milieu urbain, ont servi de fils rouges à la grande enquête menée par la Commission Européenne afin de mesurer le ressenti des habitants sur le niveau de leur qualité de vie dans la ville où ils résident et travaillent. Rennes était dans le panel des 83 territoires sondés par les dirigeants de l’UE, avec cinq autres de ses homologues françaises, métropoles comme elle, à savoir Bordeaux, Marseille, Strasbourg, Lille et Paris. Or, la capitale bretonne recueille le meilleur résultat au niveau national (96,9 points) et se classe huitième à l’échelle européenne, à égalité avec Hambourg en Allemagne, et derrière des villes comme Kobenhavn et Stockholm en Suède, ou encore Oslo en Norvège (Les villes du nord ressortent globalement comme les mieux notées). Qui à part les rennais eux-mêmes étaient les mieux placés pour juger leur ville ? Un échantillon de 700 habitants, représentatifs de la population, a été interrogé en 2019.On l’a vu, ils sont près de 97% à décerner un satisfecit général au territoire dans lequel ils vivent. Dans le détail, les opinions varient d’une thématique à l’autre. Le bien vivre croise en effet plusieurs registres, qui vont de l’importance des périmètres dédiés aux espaces verts dans la ville, jusqu’à la densité de la programmation culturelle, la quantité et la qualité des équipements sportifs, et la présence de proximité des services de santé. Dans ce grand package, 80% des rennais se disent satisfaits des loisirs et services proposés. Les avis sont tout aussi positifs sur les questions relatives au cadre de vie (propreté, pollution aérienne et sonore). Pour 94% des sondés, Rennes est ville où il fait bon vivre en famille (avec des enfants. La cité est agréable pour les personnes âgées (92%) et globalement accueillante pour les immigrés (85%). Bonne note générale également pour les transports collectifs (85% de personnes satisfaites), même si peu de rennais (42%) disent les fréquenter quotidiennement. Les tarifs de ce service public sont jugés abordables par 76% des sondés, et la fréquence des passages suffisante pour 83% du panel.Sans surprise, le bémol porte sur l’immobilier et son prix, dont le niveau très élevé freine les projets d’accession à la propriété à l’intérieur de Rennes.

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Les clubs anglais et espagnols, 4èmes de leurs championnats respectifs à l’issue de la saison 2019/2020, se dresseront sur la route du stade rennais en phase de poules. Le quatrième candidat à la qualification est russe : il s’agit du FK Krasnodar. Le très attendu tirage de la Ligue des Champions, version 2020/2021, s’est déroulé ce jeudi dans studios de la RTS à Genève (Suisse). Le verdict est tombé vers 19 heures : Rennes, qui connaîtra fin octobre son baptême du feu dans cette compétition européenne, affrontera en phase de poules – groupe E – un club espagnol (Séville FC), un club anglais (Chelsea) et une équipe russe (FK Krasnodar). Un résultat plutôt clément pour les Bretons qui ont échappé à deux des plus grosses écuries, la Juventus de Turin de Cristiano Ronaldo et le FC Barcelone de Lionel Messi, réunis dans le groupe G vers lequel le sort aurait pu conduire le SRFC (chapeau 4). Le FC Séville, tenant du titre en Ligue Europa (à ne pas confondre avec le Bétis que Rennes avait battu l’an dernier en 16ème de finale retour de ce même tournoi, NDLR) « a une grosse expérience européenne et Krasnodar est un habitué de la Ligue Europa » a résumé Julien Stéphan. Chelsea, qui compte dans ses rangs les très capés Chilwell, Rudiger, Kanté, Ziyech, Kovacic, Werner et autres Thiago Silva (ex-PSG) et Olivier Giroud, fait figure, sinon d’épouvantail, au moins d’incontestable favori dans ce groupe. Ironie du sort : cette confrontation avec ce grand nom de la Première League permettra aux bretons de retrouver leur ancien gardien Edouard Mendy, tout juste transféré chez les Blues de Franck Lampard pour un montant record sur ce type de poste (24 millions d’euros). Les six matchs de cette phase de poules se dérouleront les 20/21 octobre, les 27/28 octobre, les 3/4 novembre, les 24/25 novembre, le 1er et 2 décembre puis les 8 et 9 décembre. Les deux autres équipes françaises, le PSG et l’Olympique de Marseille bénéficient, elles aussi, d’un tirage à leur portée : le premier affrontera Manchester United, Leipzig et İstanbul Başakşehir (groupe H) et la seconde se mesurera à Porto, Manchester City et Olympiakos (groupe C). Pour rappel, seules les deux premières places de chaque groupe sont qualificatives pour les huitièmes de finale de la LDC. Les équipes classées troisièmes sont directement reversées en Ligue Europa.

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Nouvellement installée dans la capitale bretonne, la Maison du coworking souhaite donner un coup de pouce aux créateurs d’entreprise. En ces temps difficiles, où le coût de chaque charge financière compte dans la constitution de la trésorerie, l’offre intéressera sans doute les indépendants : à Rennes, la maison du coworking, qui propose des espaces de travail partagés, ouvre plusieurs places gratuites dans ses installations professionnelles, situées rue de la Monnaie depuis le 1er juin. Cette offre, valable un an, s’adresse bien évidemment aux indépendants en exercice et, parmi eux, à ces « free lance » encore fragiles qui souhaitent rompre le sentiment d’isolement associé au télétravail et ne disposent pas encore de moyens suffisants pour supporter le poids d’un loyer de bureau. Les solutions d’hébergement débloquées par la Maison du coworking visent aussi d’autres publics : les personnes en phase de création, les demandeurs d’emploi qui cherchent à se reconvertir, les associations en mal de locaux ou les étudiants en difficulté financière. Une vingtaine de places Attention, il y aura très certainement beaucoup plus de demandes que de places disponibles : vingt postes sont proposés dans un premier temps, en attendant peut-être mieux dans un proche avenir dans la mesure où l’enseigne, qui fonctionne en réseau, annonce déjà l’ouverture d’une seconde structure en septembre prochain sur la zone Atalante Champeaux, 5, rue Pierre-Joseph Collin, dans un lieu de plus grande capacité (150 places). Sur place, les usagers bénéficient d’un poste de travail situé dans un local collectif, d’un accès à internet (via la wifi) et d’espaces dits de « convivialité ». L’offre est ouverte jusqu’en septembre prochain et les dossiers comprennent un questionnaire à remplir afin que chaque cas fasse l’objet d’un examen particulier*. Ce type de service, né aux Etats-Unis et en Allemagne il y a une quinzaine d’années, a fait florès en France afin de répondre à la demande entrepreneuriale et « nomade », et à celle des start-ups en particulier, en quête de locaux moins chers pour se développer, disposer d’une adresse postale digne de ce nom et d’un point d’accueil crédible pour échanger avec leur clientèle et leurs partenaires. Leurs modèles s’appuient sur plusieurs principes qui cherchent à prendre le contre-pied de l’offre immobilière traditionnelle : des abonnements flexibles conclus à la journée ou au mois (sans engagement), une logique communautaire et des services complémentaires tout inclus qui visent à réduire les frais des adhérents (matériels, connexion à internet etc…) *Renseignements au 03 66 72 61 31 ou sur le site bzh@lamaisonducoworking.fr

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Les élus souhaitent doter le territoire de l’agglomération d’une salle de spectacles de 10 000 places. L’équipement sera livré en 2024 ou 2025 près du Parc-expo. Créé il y a presque 40 ans, « Zénith » est une gamme de salle évènementielle de grosse capacité construite en périphérie des villes. Paris avait inauguré le sien à La Villette en 1984 avec une suite de concerts mythiques de Johnny Hallyday (et sa fameuse entrée de scène dans un poing géant). Aujourd’hui, la France compte 17 Zéniths répartis dans ses plus grandes agglomérations. Il y en aura un de plus en 2025, à Rennes. C’est à cette échéance que les élus de la métropole fixent la livraison de cette nouvelle infrastructure qui devraient compter 10 000 places, soit le double du Liberté (Esplanade Charles-de-Gaulle en centre-ville), et 3 000 de plus qu’au MuzikHALL de Bruz. Pas une extension du parc-Expo Cet investissement, évalué à 60 millions d’euros, répond selon Emmanuel Couet, président de l’agglo, à la nécessité de doter le territoire d’un équipement à sa mesure, au moins comparable à celui de Nantes. Le projet figurait sur le programme défendu par l’actuelle équipe métropolitaine dès le début de son mandat (2014). Son élaboration résulte donc d’un processus au long cours débuté il y a 18 mois par une série d’études menées par un cabinet indépendant. Son travail visait notamment à déterminer un site d’accueil : trois pistes avaient été dégagées : une à Cesson-Cevigné (au terminus de la seconde ligne du métro à Via-Silav), une autre au Val-Blanc à Chantepie. Mais c’est la troisième solution qui a été retenue : c’est à Bruz, près du Parc-Expo, que le Zénith sera érigé, à l’emplacement de l’actuel karting, un terrain vendu par le groupe Pigeault à la collectivité (pour 2 millions d’euros). Ce choix semblait s’imposer naturellement au regard de la configuration des lieux, très bien desservis par le réseau routier et éloignés des quartiers d’habitats. Les décideurs y ont vu l’opportunité d’associer l’équipement aux évènements professionnels organisés à proximité, au sein du Parc-Expo. Autre élément décisif, et non des moindres : les possibilités de stationnement pré-offertes par le site. En effet, un parking de 8 000 places y est déjà aménagé. L’objectif est d’en mutualiser l’utilisation avec la nouvelle salle de spectacle. Sur place, une passerelle accessible aux personnes à mobilité réduire sera mise en place pour permettre aux piétons de traverser la rocade. La prochaine étape du projet va désormais consister à lancer un concours d’architecture préalable à l’ouverture de ce marché public. Un cahier des charges sera fixé aux candidats avec « une exigence très forte » car la future salle n’a pas vocation à devenir une extension déguisée du Parc-Expo, mais bien un équipement culturel à part entière destiné à « porter l’image de la métropole rennaise ».

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