Rennes, cette ville dynamique et vibrante, est réputée pour son riche patrimoine historique, sa vie culturelle animée, mais aussi sa gamme variée de services de santé de qualité. Parmi ceux-ci, son offre en matière de kinésithérapie est particulièrement remarquable. Que vous soyez un sportif en quête de rééducation, une personne âgée à la recherche de soins à domicile, ou simplement quelqu’un qui souhaite améliorer sa santé globale, vous serez sans doute intéressé par les meilleurs kinésithérapeutes de Rennes. Alors, à vos notes et préparez-vous à découvrir qui sont ces professionnels de la santé qui font la différence. Des professionnels de santé au service de votre bien-être La kinésithérapie, c’est bien plus que de simples massages. C’est une discipline qui se situe à la croisée des chemins entre la médecine, la rééducation et le bien-être. Son but est de vous aider à retrouver une fonction physique optimale, que ce soit suite à une blessure, une maladie ou simplement pour améliorer votre qualité de vie. Les kinésithérapeutes sont des professionnels de la santé qui disposent d’une formation rigoureuse et d’une expertise pointue pour vous offrir des soins adaptés à vos besoins. Dans la ville de Rennes, plusieurs cabinets se démarquent par la qualité de leurs prestations et leurs avis élogieux. Les kinésithérapeutes incontournables de Rennes La ville de Rennes regorge de kinésithérapeutes compétents, mais certains se distinguent par leur approche, leur expérience ou leur note globale. Parmi ces derniers, on retrouve notamment Marie Alizon, située dans le quartier Saint-Jean à Rennes. Ce kinésithérapeute, réputée pour sa douceur et son écoute, est très appréciée des Rennais. Son cabinet de kinésithérapie est facilement accessible et propose une gamme de soins variée. Dans le quartier d’Antrain, on retrouve un autre kinésithérapeute de renom: le cabinet d’Eugène Pottier. Ce professionnel de la santé, réputé pour son efficacité et son expertise, propose des soins à domicile pour les personnes qui ne peuvent se déplacer. Ses notes et avis positifs témoignent de la qualité de son service. Enfin, pour ceux qui résident près de Fougères, le cabinet de kinésithérapie situé sur le boulevard de la Liberté est une référence. Ce kinésithérapeute, reconnu pour son approche globale et son dévouement, propose des soins de rééducation de qualité. Le service de mise en relation pour trouver le kinésithérapeute idéal Si vous êtes à la recherche d’un kinésithérapeute à Rennes, il existe un service de mise en relation pour vous aider à trouver le professionnel qui répondra le mieux à vos besoins. Ce service, accessible par numéro de téléphone ou en ligne, vous permet de consulter les infos détaillées de chaque kinésithérapeute, leurs notes, avis, et même de prendre rendez-vous. Que vous recherchiez un masseur kinésithérapeute pour des soins spécifiques, un cabinet de kinésithérapie pour une rééducation globale, ou un kinésithérapeute à domicile pour des soins à la maison, ce service est conçu pour vous faciliter la tâche et vous permettre de trouver le professionnel idéal. En somme, que vous soyez un résident de la ville de Rennes ou que vous

[...]

Faute de déclaration en préfecture, le cortège devra éviter les artères les plus commerçantes. Une nouvelle manifestation se profilait à l’horizon du centre-ville de Rennes samedi 15 février. Elle aura sans doute lieu, mais pas là où ses organisateurs comptaient la faire passer. La préfecture d’Ille-et-Vilaine a décidé d’interdire au défilé de suivre un itinéraire en centre-ville afin « d’y garantir la sécurité de personnes et des biens ». Cette décision se fonde sur une norme juridique selon laquelle l’absence de déclaration auprès des autorités avec « un parcours défini » rend ce type de rassemblement « illégal ». Les participants auront tout de même droit de cité, mais en dehors du périmètre traditionnel qu’ils avaient l’habitude de sillonner : le centre-ville. Quels secteurs seront fermés ? L’objectif de la préfecture est de sanctuariser cette zone où, rappelle l’administration, « des débordements et dégradations inadmissibles ont été commis à plusieurs reprises lors des nombreuses manifestations précédentes ». Cette mesure de précaution s’appliquera de 11 heures à 23 heures à l’intérieur d’un large secteur formé au sud par le boulevard du Colombier, la rue Raoul-Dautry et le boulevard de Beaumont. A l’ouest par l’avenue Jean-Janvier, la place Pasteur, la rue Gambetta, le Contour de la Motte et Voie de la Liberté et la rue du général Guillaudot. Au nord par la rue Lesage, la rue de l’Hôtel Dieu et la rue Legraverend. A l’ouest enfin par le boulevard de Chézy , le quai Saint-Cast , la place de Bretagne et le boulevard de la Tour d’Auvergne (toutes ces artères, situées en bordure du périmètre proscrit, restent libres d’accès). Enfin, la Préfecture interdit aux manifestants, « le port et le transport d’armes par nature et de tous objets susceptibles de constituer une arme au sens de l’article 132-75 du code pénal ». Cette disposition s’applique aux artifices, aux conteneurs individuels, aux substances et mélanges dangereux, inflammables ou corrosifs ». Enfin, les autorités prohibent l’utilisation d’objets ou d’éléments visant à « dissimuler les visages », ou d’équipements de protection destinés à mettre en échec le maintien de l’ordre ».

[...]

Le ministre de l’Intérieur posera la première pierre du bâtiment qui accueillera en 2021 la Préfecture, boulevard d’Armorique. Lundi prochain, les services de l’Etat installés à Rennes attendent la visite de « leur » Ministre Christophe Castaner, successeur de Gérard Colomb à Beauvau en 2018. Ce macroniste de la première heure, compagnon de route de l’ex-candidat à l’Elysée dès 2016, est attendu dans les locaux de la Préfecture d’Ille-et-Vilaine (Beauregard), un bâtiment que cette administration quittera en 2021 pour s’installer dans des bureaux neufs aujourd’hui en cours de construction boulevard d’Armorique. Symboliquement, après avoir formulé ses vœux au personnel, le ministre viendra poser la première pierre d’un chantier qui a démarré à l’automne dernier. La venue de Castaner viendra conclure une série de visites gouvernementales officielles, commencées le jeudi précédent (16 janvier) avec Sébastien Lecornu, ministre en charge des collectivités territoriales, et poursuivie le samedi avec Jacqueline Gourault, qui s’occupe de la Cohésion des Territoires. Un investissement de 20 millions Le premier se rendra en Préfecture de Région (Hôtel Martenot) afin d’échanger avec des élus locaux à propos de la mise en œuvre de la loi « Engagement et Proximité », promulguée en décembre dernier, un texte qui renforce notamment les attributions des maires au sein des intercommunalités. Le lendemain, le jeune ministre assistera à la présentation du projet d’Hébergement Touristique d’avant-garde (HTAG). Sa collègue sera samedi matin au Couvent des Jacobins où, dans le cadre des Assises nationales de la Citoyenneté, elle prendra part à une table ronde abordant plusieurs problématiques relatives  la gestion d’un territoire. Lundi, la présence du ministère de l’Intérieur permettra aux services de l’Etat de communiquer sur le prochain déménagement de la Préfecture d’Ille-et-Vilaine dans un nouvel espace érigé non loin de son site actuel (Beauregard) : c’est sur le boulevard d’Armorique que se dressera en 2021 un bâtiment long de 200 mètres destiné à accueillir plusieurs activités tertiaires, dont celles de l’administration publique : 7 500 m2 de surface lui seront réservés, avec 370 postes de travail répartis sur plusieurs étages. L’investissement immobilier est estimé à quelque 20 millions d’euros. Ce transfert permettra au conseil départemental de récupérer les locaux de Beauregard qu’il louait à l’Etat, soit une superficie de 12 000 m². La collectivité aura la possibilité d’y centraliser certains de ses services, à l’instar de la direction informatique.

[...]

Après l’avantage acquis au match aller (3-1), les bretons ont montré leur limites sur le pelouse de l’Emirates Stadium. Leur rêve d’atteindre les quarts de finale de la Ligue Europa s’est arrêté sèchement face à des Gunners d’une froide efficacité (0-3). Ultimes représentants tricolores dans la course à l’Europe, après les éliminations successives du Paris-Saint-Germain (1-3 face à Manchester) et de Lyon (1-5 à Barcelone), les rennais ont subi la même sanction que leurs homologues de Ligue 1 : après un match-aller réussi qui semblait lui avoir déblayé le chemin vers la qualification (3-1 au Rohazon Park), le SRFC n’a finalement pas tenu la distance au second round, dominé par des gunners réalistes à défaut d’être géniaux (0-3). Vite, trop vite, les bretons se sont laissés déborder par les anglais, ouvrant un boulevard à Aubameyang, trop heureux d’ajuster Koubek dès la 5ème minute de jeu. A 1-0, aussi tôt dans le match, Arsenal réalisait l’entame parfaite et remettait son destin à l’endroit : dix minutes plus tard, le même Aubameyang profitait de la passivité de la défense rennaise pour trouver Maitland-Niles qui concluait de la tête (2-0, 15’). Coup de massue et double peine pour les hommes de Julien Stéphan car l’attaquant gabonais était en position de hors-jeu au départ de l’action. Mais la VAR, qui aurait dû servir les intérêts des visiteurs à ce moment-clé de la partie, n’a malheureusement pas droit de cité en Ligue Europa…. A vingt minutes du terme, Aubameyang, à la réception d’un centre de Kolasinac, portait l’estocade (3-0). Entre-temps, les rennais gardaient espoir, mais pêchaient par trop d’approximation et de frilosité, à l’image de Niang qui, au retour des vestiaires, écrasait une frappe vers un Cech attentif et bien placé pour détourner le ballon sur son poteau droit (47’). Ce fut bien la seule tentative nette des « rouge et noir », car ni Ben Harfa, ni Sarr ne retrouvaient leur lustre du match aller. « On a été dominés dans l’intensité, les duels et la vitesse de jeu, surtout en première période » a réagi Julien Stéphan, « il est évident que le hors-jeu non signalé sur le deuxième but change beaucoup de choses. C’est le tournant du match. Arsenal, ce soir, c’était du niveau de la Ligue des Champions. Cette expérience malheureuse va permettre au club d’apprendre et de grandir».

[...]

Après les désordres survenus samedi dernier, la préfecture de Bretagne a pris des mesures drastiques pour éloigner les manifestants du cœur historique de Rennes. En Bretagne, comme ailleurs en France, l’acte XI des gilets jaunes se prépare à grands coups de posts diffusés sur les réseaux sociaux. Ce mode d’organisation, virtuel et dispersé, souvent ponctué d’annonces contradictoires, complique grandement la tâche des autorités bien en peine d’anticiper à la fois l’ampleur et le cheminement de la future manifestation. Quel périmètre ? Afin d’éviter la réitération des désordres survenus samedi dernier en marge du défilé de gilets jaunes qui n’avait pas été décéléré au préalable en préfecture, la représentante de l’Etat en Ille-et-Vilaine Michèle Kirry a, dans l’hypothèse où un nouveau rassemblement de dimension régionale devait se tenir samedi après-midi (26 janvier), pris un arrêté déroulant une série de mesures préventives : l’une d’elle va consister à déployer un cordon de sécurité autour du centre-ville afin d’en barrer l’accès aux manifestants. Le périmètre défini par l’administration est circonscrit, à l’ouest, par le square de La Motte, les rues Gambetta et Général Maurice-Guillaudot, au nord par les rues de l’Hôtel-Dieu et Legravend, à l’ouest par le canal d’Ille et de la Rance (longé par les boulevard de Chézy et le quai Saint-Cast), au sud par les trois quais Duguay-Trouin, Lamartine et Chateaubriand. En théorie, le cortège n’aura pas le droit de déambuler à l’intérieur de cette zone, interdiction qui entrera en vigueur dès 10 heures du matin jusqu’à minuit (pour info, la même mesure avait été appliquée samedi dernier à Angers, ce qui n’avait pas empêché les gilets de jaunes de s’infiltrer jusque dans l’hyper-centre). Les commerçants tirent la langue Dans son communiqué, la préfète Michèle Kirry justifie la mise en place de ce dispositif par la nécessité de « concilier la liberté de manifester avec les exigences de la tranquillité et d’ordre public. » Elle ajoute que « toute manifestation sur la voie publique doit faire l’objet d’une déclaration qui précise le nom du ou des organisateurs ainsi que le parcours emprunté. » Les organisateurs du rassemblement de samedi sont donc invités à faire les démarches qui s’imposent auprès des services administratifs, sous peine de tomber sous le coup de la loi et d’être passible de « six mois d’emprisonnement et 7 500 euros d’amende. » À la suite de la manifestation du week-end dernier –le dixième consécutif – certains commerçants affirment avoir perdu jusqu’à 40% de leur chiffre d’affaires. c’est en ce sens que L’association des commercants rennais a écrit au ministre de l’Intérieur afin de lui demander « de restaurer l’ordre ». Un autre courrier, réclament des aides financières urgentes, a été adressé à Bercy.

[...]

L’homme, âgé de 38 ans, voulait se venger après avoir appris sa radiation des listes des personnels intérimaires. Gros coup de sang mardi soir à Rennes. Un homme, aussi énervé qu’enivré, a foncé dans la devanture d’une agence d’intérim, située boulevard de la Tour d’Auvergne à Rennes (en photo). Cet acte fou, perpétré à bord de sa voiture, résulterait d’une vengeance : l’automobiliste, âgé de 38 ans, était inscrit depuis plusieurs mois sur les listes de ce bureau d’embauches qui l’affectait au gré des besoins dans les entreprises employant des intérimaires. Hélas, les mauvaises appréciations de ses supérieurs, qui faisaient état de son manque d’implication et de son absentéisme, ont conduit les recruteurs de l’agence rennaise à lui notifier sa radiation. Furieux et sous l’emprise de l’alcool, il s’est laissé happer dans un tourbillon de haine qui risque de lui coûter très cher. Au volant de sa voiture, l’homme a foncé deux fois dans les locaux de l’agence Job & Box, pulvérisant une vitrine à chaque fois. La violence du choc a fini par bloquer ses roues dans les armatures de la structure. Immobilisé, il est donc sorti de son véhicule pour s’enfuir à pied. Des policiers en patrouille l’ont rapidement repéré dans un sous-sol situé à proximité où ils l’ont interpellé avant de le placer en cellule de dégrisement. Le chauffard a été interrogé ce matin dans le cadre d’une garde-à-vue. Recouverte de planches de bois pour bloquer ses accès, l’agence du boulevard de la Tour d’Auvergne reste fermée jusqu’à nouvel ordre.

[...]

Un changement de canalisation entraîne la fermeture partielle de la rue de Nantes jusqu’au mois de juillet. Les commerçants, qui dénoncent un manque de concertation de la municipalité, réclament la mise en place d’un système de circulation alternée. C’est le chantier à l’entrée sud de Rennes, au propre comme au figuré. Depuis le 6 mars dernier, de lourds travaux ont débuté rue de Nantes où une canalisation d’eau doit être remplacée. Plus que les ralentissements occasionnés par la fermeture partielle d’un tronçon de 250 mètres (entre le boulevard Clémenceau et le boulevard Albert Ier), c’est le calendrier du chantier qui alarme les commerçants du quartier. Il doit en effet s’échelonner jusqu’à l’été, la fin du mois de juillet étant, à l’heure qu’il est, l’hypothèse la plus probable pour une réouverture totale de cette « pénétrante » empruntée chaque jour par près de 25 000 automobilistes. Réouverture les week-end Durant ce laps de temps de cinq longs mois, la circulation ne se fera que dans un seul sens, sud-nord en l’occurrence afin de faciliter l’entrée dans la métropole depuis la rocade. Pour les automobilistes en provenance du centre-ville, et qui souhaitent sortir de Rennes, des déviations ont été mises en place à hauteur du boulevard Georges-Clemenceau où se concentre le gros des travaux (voir notre schéma ci-dessous). L’une d’elle propose de contourner la rue de Nantes par la rue Le Guen de Kerangal. Un autre itinéraire est conseillé en amont par le boulevard Jean-Mermoz qui rejoint directement le périphérique. Lors d’une réunion, les élus des municipalités de Rennes et de Saint-Jacques ont promis que le chantier sera ouvert chaque week-end afin de permettre au flux automobile de s’écouler normalement. Mais certains riverains et réclament un système permanent de circulation alternée, une solution difficilement réalisable en raison des fortes densités de véhicules sur cette portion. Sur ce dessin, la rue de Nantes est signalée en rouge, les déviations en noir (Google maps ©) :

[...]

Avec un niveau de congestion en hausse de 6% l’an dernier, Rennes serait la onzième ville la plus embouteillée de France, indique une étude réalisée par le fabricant de GPS Tom Tom. Avec 30 minutes de temps perdu chaque jour en moyenne dans les bouchons, les rennais ne sont pas les automobilistes les plus mal lotis en France. Mais à en croire le « Traffic Index » réalisé par le fabricant de GPS Tom Tom, c’est dans leur ville que la circulation s’est le plus dégradée en 2016. Le taux de congestion y progressé de +6%, soit plus qu’à Marseille (+2%) qui reste la métropole la plus embouteillée de l’Hexagone avec 41 minutes supplémentaires passées sur la route, soit 158 heures dans l’année. C’est un peu plus mauvais qu’à Paris où le temps gâché quotidiennement par les automobilistes est estimé à 40 minutes. Des points chauds sur le périph’ A Rennes, sans surprise, les gros points noirs de la circulation sont identifiés sur certaines portions du périphérique où la vitesse avait, rappelons-le, été réduite à 70 km/h pendant un an, avant d’être rétablie à 90 en octobre dernier. En 2016, les difficultés de circulation ont été récurrentes à l’ouest, sur la N136 qui court le long de l’avenue Germaine Tillon et, plus au nord, rue de Lorient. Sur la rocade-sud, le flux a été plus compliqué à hauteur du CHU et de Chantepie. Dans le centre-ville, l’axe formé par les quais Duguay-Trouin et Chateaubriand reste un secteur difficile, comme la rue Gambetta et le boulevard de la Liberté. Tom Tom observe également que la circulation est un peu moins perturbée le matin (46 %) qu’en soirée (53%) avec un trafic défavorable le vendredi pour les départs en week-end. Pour info, la limitation de vitesse mise en place à titre expérimental entre septembre 2015 et octobre 2016 sur la rocade visait à réduire les émissions de dioxyde de carbone et les dégagements de particules fines. Mais, en détériorant les conditions de circulation, la mesure a eu les effets inverses à ceux recherchés : « la pollution enregistrée était plus importante et le trafic moins fluide avec plus de zones de saturation et de congestion » avait constaté la métropole après cette phase de test qui avait nécessité l’achat de nouveaux panneaux de signalisation pour un montant de 49 000 euros.

[...]

La circulation sera perturbée jusqu’en février sur plusieurs axes routiers de la Ville de Rennes et de la métropole. Près de l’Hôpital Sud, l’avenue de Pologne subit jusqu’au mardi 31 janvier une petite rénovation de sa chaussée avec la pose d’un nouvel enrobé. Les travaux entraînent sa fermeture à la circulation dans le sens nord-sud, sur la portion située entre l’avenue de la Vistule et le boulevard de Bulgarie. Une déviation est mise en place par le nord, via le boulevard de Yougoslavie et la rue de Roumanie, adjacente à l’avenue de Pologne. Près du cimetière de l’est, c’est l’avenue Monseigneur Mouezy qui est bouclé suite à de lourds travaux sur les réseaux souterrains. La fermeture est orienté dans la sens est-ouest de 8 heures à 17 heures jusqu’au mardi 31 janvier. Au CHU, la rue de l’Hôtel-Dieu est rétrécie jusqu’au 9 février en rasion d’intervention lié à l’avancement de la ligne B du métro. Enfin, le parc des Gayeulles est privé d’une de ses principales dessertes, la rue du professeur Audin dont la partie nord est en travaux jusqu’au 9 février

[...]

Le supermarché de la rue Saint-Hélier, qui devait compenser la fermeture du bureau de poste local, a préféré mettre fin au service du courrier, faute de places et de personnels suffisants pour gérer l’importance du « flux ».   Non non, l’activité postale n’est pas morte en France. Le supermarché du quartier Saint-Helier, qui avait récupéré l’activité courrier d’une agence riveraine fermée par La Poste, en sait quelque chose. Depuis le 7 janvier 2017, le magasin proposait un service de relais qui assurait les réceptions et les expéditions de colis. Hélas, en moins de quinze jours, cette activité s’est révélée trop lourde à gérer pour le personnel du supermarché qui affirme manquer de bras et de places pour absorber un tel surcroît de travail. Face à l’afflux d’usagers, le directeur du site a préféré se désengager de son contrat avec La Poste… qui a donc dû se mettre en quête d’un nouvel opérateur. Deux autres commerçants auraient proposé de se partager la tâche sur le même secteur : « Le temps d’installer le matériel et de former le personnel, ces nouveaux relais seront ouverts d’ici fin février » a précisé la direction du groupe. Outre Saint-Hélier, La Poste avait annoncé, en juin dernier, la fermeture de six agences, Rapatel (90, rue de Château-Giron), La Poterie (boulevard Paul-Hutin Desgrees), Oberthur (88 rue de Paris), Hoche (rue saint-Melaine), Danton (boulevard Charles-Péguy) et Coëtlogon (rue du même nom). Là aussi, le service courrier et colis a été récupéré par des commerçants, y compris à Beauregard où la transition a été mieux supportée. A Rennes comme ailleurs, le maillage de La Poste s’est beaucoup desserré ces dernières années en raison d’une baisse d’activité liée à la concurrence d’internet. En ce qui concerne la capitale bretonne, le groupe pointait également une baisse de la fréquentation dans ses bureaux, jusqu’à -12% en deux ans.

[...]